• C'est l'histoire de Cendrillon, qui était maintenant rendue à 75ans. Elle était assise sur son balcon avec son chat Bob sur les genoux.

    Soudain, sa fée marraine apparaît. Elle donne à Cendrillon la possibilité d'exaucer 3 de ses souhaits.

    - Mon premier, dit Cendrillon, serait que je devienne immensément riche.

    Et sa chaise berçante se transfourma en or massif. Cendrillon, très impressionnée, continua :

    - Mon deuxième, serait que je redevienne jeune et belle, comme autrefois.

    Et elle redevint la même jolie jeune princesse qu'autrefois. Maintenant elle devait choisir son troisième. Elle y pensa longuement.

    - Mon troisième, dit-elle, serait que mon chat Bob se transforme en un charmant et beau prince.

    Alors Bob se transforma en un prince magnifique. Ce fut le coup de foudre immédiat entre les 2. Bob s'approcha tendrement de Cendrillon, et lui murmura doucement à l'oreille :

    - C'est dommage que tu m'ait fait castrer non ?

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  • En ouvrant la porte de l'ascenseur, Claire aperçut tout de suite l'entrebâillement de la porte d'entrée. Eduquée, elle savait quelle attitude adopter. Son manteau glissa à ses pieds, la révélant simplement parée de son corset et de ses bas, malgré le froid intense qui régnait dehors. Il y avait longtemps qu'elle avait oublié toute idée de sous-vêtements, de parures, ou même de sacs ou de clés, elle devait toujours être les mains et les poches vides de tout. Elle fit glisser les lanières de ses chaussures pour se retrouver pieds-nus à même le carrelage, et se mit aussitôt à 4 pattes, en ramassant ses affaires, qu'elle déposa dans un coin après avoir poussé la porte d'entrée. Elle la referma avec le plus de délicatesse possible pour ne pas déranger son maître qu'elle devinait en train de lire dans son canapé, près du halo de lumière.


    Sans un bruit, elle vint à ses pieds, la tête baissée, sachant qu'elle n'avait pas le droit de lever son regard vers lui, malgré l'envie qui lui tenaillait le ventre. Posant une main de chaque côté de ses chaussures, elle baisa doucement le dessus de ses pieds, puis posa délicatement la joue. Pas trop lourdement pour ne pas lui peser, mais aussi pouvoir la relever dès qu'il ferait le moindre signe. C'est ainsi qu'elle resta de longues minutes, simplement heureuse d'être là, à cette place, que ce soit elle qu'il ait choisi. Comme à son habitude, elle repéra le temps qui passait au nombre de morceaux de musique qui défilaient sur la platine. De la techno cette fois-ci, elle ne connaissait pas le disque, mais le rythme résonnait au gré des pulsations de son cœur, et des bouffées de bonheur lui remplissait les yeux de larmes.


    Bien entendu il avait entendu l'ascenseur, son cœur s'accélérant à la pensée que sa douce et magnifique esclave arrivait enfin, à l'heure exacte bien sur, mais les dernières minutes avaient semblé prendre des heures à s'écouler. Il arrivait à peine à tourner les pages de son dossier, et la vue de cette femme animale ondulant des hanches pour se rapprocher de lui, la pression de ses lèvres, la position de sa tête, l'ombre indécente de ses fesses, tout le rendait fou et incapable de se concentrer sur les tableaux de chiffres. Sa main descendit, mais son dos était hors d'atteinte.


    Instinctivement Claire sentit l'appel et fit pivoter son corps pour que la main vienne se poser sur ses hanches, sentir ainsi la chaleur irradiante qui s'en dégageait. Jean était ravi de la taille que prenait Claire. Elle arrivait maintenant à fermer presque complètement son corset, et avait gagné ainsi près de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="15 centimètres">15 centimètres</st1:metricconverter> lorsqu'elle était enserrée et <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="10 centimètres">10 centimètres</st1:metricconverter> libre. Mais surtout elle ne pouvait ni ne voulait s'en séparer, malgré l'irritation que provoquait parfois le frottement du tissu sur son ventre fragile. Ils partiraient dans quelques jours à Amsterdam, il lui ferait faire deux corsets sur mesure, l'un pour tous les jours, l'autre pour un seul jour...


    Il avait hâte de le lui annoncer, mais cela attendrait encore. Il avait envie de l'enserrer, la contenir, la contrôler, la tenir en permanence. Et la métamorphose prenait, sa taille devenait si fine, si fragile que sans corset elle se sentait perdue et en danger. Il se leva enfin, la musique venait de se taire. Claire avait très vite retiré sa tête pour ne pas gêner ses mouvements, et l'avait reposée à terre, toute en attente, le cœur en émoi.


    Les basses de la techno laissèrent la place à la pureté du piano de Glenn Gould. Il s'approcha d'elle, par derrière, doucement lui saisi les épaules. Une pression insensible et Claire se retrouva à genoux, ses bras instinctivement croisés dans le dos, la tête relevée, le cou offert. Un doigt s'insinuant entre ses mâchoires, docilement elle ouvrit la bouche, qui fut forcée par le bâillon, elle reconnu le très gros bâillon rouge qu'elle avait déjà porté, qui lui distendait les mâchoires, la remplissant de tant d'émotions. Jean le lui serra dans la nuque, fortement, lui arrachant un cri de douleur qu'il n'entendit pas, étouffé par la boule de latex. Un bandeau vient obturer ses yeux qu'elle avait gardé fermés en attendant l'ordre de son maître pour les ouvrir. Une pression sur ses oreilles et elle se retrouva enfermée dans un monde de silence, ce dernier sens occulté par des bouchons tendres et doux. Elle ne pouvait ni voir, ni entendre, ni parler. Elle ne doutait pas qu'elle ne pourrait bientôt plus bouger...


    Face à elle, il l'aida à se mettre debout. Sans la vue et l'ouïe Claire se rendit compte que ce n'était pas si facile, surtout de rester immobile, les bras le long du corps comme il le lui fit comprendre. La première ceinture vient l'enserrer au niveau de sa poitrine, bloquant ses bras le long de ses côtes. Il serra fort, sa respiration devint franchement difficile, elle devait se concentrer pour ne pas paniquer. Après quelques minutes elle avait pris le rythme. Une deuxième ceinture au niveau de la taille bloqua définitivement ses avant bras, elle ne pouvait plus bouger le haut du corps. Trois autres plus petites ceintures autour des cuisses, des mollets puis des chevilles, elle ne tenait plus debout toute seule, incapable de maintenir son équilibre. Elle se sentait non seulement complètement immobilisée, impotente mais totalement vulnérable, ne maîtrisant plus ni l'espace ni le temps.

    Jean la prit sur son épaule, et la déposa sur un sol recouvert d'un coussin mais qu'elle sentait dur en dessous. Elle était assise contre une paroi, les jambes allongées devant elle. Connaissant bien l'appartement, elle n'arrivait pas à se figurer où il l'avait déposé. Elle était théoriquement confortablement installée, même si elle se sentait serrée et tenue de partout. Il ne se passa rien pendant les longues minutes où Jean l'observa en silence. Puis il poussa la porte et ferma le placard à clé.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> Il était temps qu'il prépare son rendez-vous qui allait arriver d'un instant à l'autre...

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  •  


    Quelques heures plus tard, lorsque Claire s'éveilla, Jean était toujours à ses côtés, le lit transformé en bureau momentané, comme s'il n'avait pas voulu la quitter un seul instant. Elle se sentait engourdie et cassée par toutes les épreuves qu'elle avait endurées et avait du mal à retrouver ses esprits.


    Elle sentit la nouvelle et légère pression qu'elle avait autour du poignet et sourit. Et peu à peu, comme elle, son corps s'éveilla, et elle sentit également une présence qui lui parut énorme au creux de son sexe. Sa main chercha celle de Jean, et leurs doigts réunis allèrent explorer avec une douceur infinie son intimité. Ils ne firent qu'effleurer ce nouvel anneau, tout contact semblant impossible sans qu'une douleur incroyable ne se réveille.


    Jean la rassura, Vincent lui avait laissé tout ce qu'il fallait pour ôter toute douleur, il ne voulait pas qu'elle souffre. Il n'aimait pour elle que la douleur que lui infligeaient certains de leurs plaisirs. Aussi lui expliqua t il qu'elle devait être très précautionneuse pendant quelques semaines, mais que par la suite, elle serait transformée dans sa féminité, que ses orgasmes seraient d'une ampleur exceptionnelle, et qu'elle ne serait plus obsédée que par son clitoris, que le moindre souffle d'air serait ressenti comme la plus précise des caresses, qu'ainsi elle serait de plus en plus chienne, de plus en plus animale, à la merci de toutes ses envies.


    Claire avait l'impression qu'un fil intérieur la tirait, qu'il suffirait de peu de choses pour qu'elle se sente comme dirigée par ce point qui était devenu comme névralgique en elle. Comme s'il lisait dans ses pensées, Jean lui expliqua que quand elle serait cicatrisée, il pourrait ainsi passer une chaine reliant les anneaux de ses seins et de son clitoris et qu'il la guiderait ainsi, sans qu'elle résiste, sous peine d'arracher cruellement ses chairs les plus tendres. Une vague d'excitation la submergea...et elle eut l'impression que son sexe allait exploser.


    Au fil des mois, elle se sentait de plus en plus dépendante, de plus en plus animale et soumise à Jean. Son travail qui la passionnait auparavant lui pesait, elle avait du mal à s'imposer continuellement et à diriger comme elle prenait auparavant plaisir à le faire naturellement. Elle était la meilleure et on lui confiait de lourdes responsabilités. Mais à présent, il lui semblait que ce n'était plus son rôle. Elle rêvait de s'occuper de Jean complètement, et de passer des heures à l'attendre, à se préparer à être utilisée comme bon lui semblerait. Elle n'osait pas encore lui en parler, mais quand elle rentrait chez elle, elle se demandait parfois où elle en  était ; son autonomie apparente lui pesant de plus en plus.


    Comme elle avait changé depuis sa rencontre avec Jean !


    Celui-ci la regardait toujours, pensivement semble t il, avec un air vaguement interrogateur. Il semblait vérifier si elle était prête pour autre chose. Il voulait aujourd'hui encore plus que d'habitude la protéger de tout. Elle avait ces dernières heures beaucoup souffert pour lui, et il ne voulait plus que douceur pour elle, jusqu'à ce qu'elle se rétablisse. Il se demandait comment elle allait réagir au « pacte » qu'il avait rédigé. Il voulait pour cet anniversaire lui faire un dernier cadeau; lui faire signer un contrat où elle s'en remettait complètement à lui, pour tout, moyennant quoi il la protégerait de tout et de tous. Accepterait-elle ?

    Elle vouait une passion à son travail, même s'il sentait qu'elle avait parfois du mal à s'arracher à lui, mais ils avaient tous les deux une vie si remplie, si riche ! Il rêvait de partir le matin et qu'elle soit là, attachée, entravée, ou bâillonnée, contrainte continuellement pour être obsédée par lui jusqu'à son retour. Il se rendait compte que s'il se laissait aller, elle subirait tous ces excès, mais elle le poussait sans le savoir tellement à toujours aller plus loin !

    La soirée trouva Claire et Jean devant un souper qu'il avait voulu intime, et avec tout ce qu'elle aimait. Elle s'était remise de ses émotions et il l'a trouva d'humeur propice pour lui offrir son dernier cadeau. Il lui tendit avec amour un coffret très plat, un peu plus grand qu'un cahier. Quand elle l'ouvrit, elle découvrit une plume, un petit scalpel très fin, et une sorte de dossier qu'elle ouvrit.


    Sur la page de garde elle put lire:


     Mon Amour, tu es définitivement mienne et j'en suis heureux. Je t'appartiens aussi, même si c'est d'une autre façon, même si nos rôles ne sont pas symétriques. Je te propose de t'en remettre à moi pour toujours en signant le contrat ci-joint. Prends le temps de le lire, parlons en si tu veux, et si tu es prête, nous le signerons tous les deux en trempant cette plume dans notre sang. Je te veux mon esclave pour la vie, mais aussi ma femme. Avec tout mon Amour. Jean.

    Claire parcourut les différentes pages qui reprenaient tous les aspects de sa vie que cet homme proposait de régenter. Elle s'en sentit curieusement soulagée, apaisée, et tellement confiante qu'elle ne voulut pas entrer dans  les détails. Elle prit délicatement le petit scalpel, ouvrit son corsage, et se fit une entaille fine mais profonde sur le sein. Elle tendit la plume à Jean, sans un mot...


    Tout était dit.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

     

    Fantasmes au bord du fleuve de l'Intensité.
    Je serai esclave à Rome tirée par des chaînes,
    Je marcherai en oubliant ma lointaine contrée,
    Je courrai derrière un char à perdre haleine.
    <o:p> </o:p>Je dormirai dans une cage, lionne emprisonnée,
    Le cirque autour de moi sera lieu inconnu,
    J'irai de long en large et puis je feulerai
    M'en remettant enfin au bon vouloir, vaincue.
    <o:p> </o:p>Je me tairai, tremblante, en sorcière accusée,
    Sachant que les Inquisiteurs n'ont qu'un seul livre.
    Je sentirai venir le feu de mon bûcher,
    Allumé par des hommes déjà à moitié ivres.
    <o:p> </o:p>D'une lettre écarlate en adultère aussi,
    Je connaîtrai le sort si blanc des condamnées,
    Les cris et les haros autour du pilori,
    Les badauds à la trogne avide d'exulter.
     
    Fantômes au bord du fleuve de l'Eternité.
    Japonaise geisha  qu'on va shibariser,
    Goût du saké, cérémonie du thé,
    Le bleu du soir et puis les alizés.
    <o:p> </o:p>Petite ombre perdue au jardin des délices,
    Qui musique la nuit tombée pour un seul homme,
    Tendre chair en extase au jardin des supplices
    Qui voit Tes doigts sur ses plaies comme un baume.
    <o:p> </o:p>Plus près de nous plus près de nous pour tant
    Et tant et tant de rouge et de cerises,
    C'était nous, c'était nous, mais tout autant ce vent
    De par là-bas auquel je suis soumise,
    <o:p> </o:p>Cette autre houle qui apporte le mascaret
    T'en souvient-il de celui-là, mon Ame,
    Bruit de fond de cette première soirée
    Quand de notre chandelle Tu allumas la flamme...
     
     
     Auteur inconnu
     
    <o:p> </o:p>

    </o:p>

     

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  •  


    J'avais à peine seize ans
    Et jouant avec le vent
    Soufflant, impertinent
    La nature accueillante
    Veillait bienveillante.


    Dans ce temps enfantin,
    Arriva le destin
    Qui peut être main,
    Plus qu'adolescent,
    Tu n'avais pas vingt ans. 


    Ton regard indulgent
    Insoucieux des gens,
    Ton air intransigeant,
    Altier, insolent
    Se montrait exigeant,
     


    Me rendait hommage
    Sans aucun langage.
    Pourtant fille sage,
    Je ressentis le choc
    D'un élan réciproque.


    D'une mine étonnée
    Je me suis mutinée,
    Raide, comme amidonnée,
    Je fixais, entêtée,
    Mes pieds, désemparée.



    Ton grand rire joyeux
    Résonna vers les cieux
    Puissant et radieux
    A cet instant là
    Ton cœur m'ensorcela.

    Le mien fut en prison
    En perdant la raison
    Qu'elle était la saison ?
    Je ne m'en souviens pas,
    Le soir venait déjà.


    Entrant dans mon espace
    Avec beaucoup d'audace,
    J'ai senti une menace,
    Puis dans l'âme une épine
    D'une douleur divine.


    Alors sans réprimer
    Un sourire, un baiser,
    Me donna, tout léger
    Comme pour effacer
    Ma crainte irraisonnée.


    Subitement surpris
    Et soudain attendri
    Alors tu as compris
    Mon inexpérience,
    Qui fit ma réticence.


    Bien sur ce baiser là
    Etait une première fois.
    T
    u me l'avais appris
    Nous nous sommes épris
    Et je l'ai su aussi.


    Tu m'as laissée grandir,
    Et puis m'épanouir,
    Réfrénant ton désir.
    Apres un long hiver
    Fleurit le primevère.


    Alors celle d'hier
    Découvrit les mystères
    De la tentation
    Et des interdictions
    Sous ta séquestration.


    N'ayant pas eu de brides
    J'étais intrépide
    Très vive et avide.
    Tu étais soucieux,
    Parfois, même furieux. 


    Je connaissais tes vœux
    Je faisais des aveux.
    Tu te montrais fougueux.
    Nous étions bienheureux,
    Aux moments délicieux.


    Mon corps devint curieux
    Le tien fut impérieux.
    Tu murmuras : je veux !
    Je tendis mes lèvres
    Brûlantes de fièvre.


    J'écoute ta supplique
    Presque je te griffe.
    Ensuite sans défense
    Je suis l'obéissance
    Jusqu'à l'indécence. 


    Et mes sens endormis
    Comme par une magie,
    S'entrouvrent tels une corolle.
    Mes pensées s'envolent
    Frivoles, elles caracolent.


    Goulûment, je flaire
    L'odeur chaude  de ta chair.
    Tu décides davantage,
    Alors je t'encourage
    En t'offrant  l'avantage.


    Toute à ta fantaisie
    Puisque tu m'as choisie,
    Je me fais tentatrice
    Entière à ton caprice
    Folle adulatrice.


    Tu es l'unique vainqueur
    Et tu soupires moqueur.
    Ta marque implacable
    Est ineffaçable
    Surtout ineffable.


    L'amour suivit son cours
    Et avec maints détours
    Oubliant sa jeunesse
    Apportait la tristesse
    Pour mieux jouir des liesses.


    Aucun souvenir flou
    Je suis à tes genoux
    Pour calmer le jaloux.
    Je suis ta complice,
    Oublies ton supplice.


    Je suis une hirondelle,
    Mais jamais infidèle
    Quand tu me rappelles
    Je viens à ton appel
    Oubliant nos querelles.


    Quand je te vois volage
    Tout mon être se ravage
    J'ai envie de carnage.
    Je me retrouve sauvage
    Pour détruire ton mirage.


    Ne soyons pas parjure.
    Je t'en prie, t'en conjure,
    Ne soyons pas meurtris.
    L'amour n'a pas de prix
    Alors qu'il nous a pris.


    Pourquoi chercher ailleurs ?
    Nous avons le meilleur
    Chassons tous les soupçons
    De stupides trahisons
    Qui laissent  des pinçons.


    Quand les autres nous tracassent
    Et nous font des grimaces
    Regardons les en face
    Toi et moi enlacés
    Pour nous débarrasser. 


    Regardons l'horizon
    Sans nulle déraison
    Avec quelques frissons
    Sur nos peaux très proches
    Et qui encore s'approchent


    Sans cesse la vie s'enfuit
    Viens ! Nous avons des fruits
    Doux, à mordre sans bruit.
    Le soleil lance des feux
    Nous embrase tous les deux.


    On se connaît par cœur
    Ayant chassé nos peurs
    Nos corps cherchent à se plaire,
    Pour surtout se complaire,
    Dans la nuit éphémère. 

    L'amour est aventure
    L'amour doit rester pur,
    Sans aucune rature.
    Donnons nous cette gageure,
    Je t'aime, je te le jure !  <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p>

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