• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

     

    Fantasmes au bord du fleuve de l'Intensité.
    Je serai esclave à Rome tirée par des chaînes,
    Je marcherai en oubliant ma lointaine contrée,
    Je courrai derrière un char à perdre haleine.
    <o:p> </o:p>Je dormirai dans une cage, lionne emprisonnée,
    Le cirque autour de moi sera lieu inconnu,
    J'irai de long en large et puis je feulerai
    M'en remettant enfin au bon vouloir, vaincue.
    <o:p> </o:p>Je me tairai, tremblante, en sorcière accusée,
    Sachant que les Inquisiteurs n'ont qu'un seul livre.
    Je sentirai venir le feu de mon bûcher,
    Allumé par des hommes déjà à moitié ivres.
    <o:p> </o:p>D'une lettre écarlate en adultère aussi,
    Je connaîtrai le sort si blanc des condamnées,
    Les cris et les haros autour du pilori,
    Les badauds à la trogne avide d'exulter.
     
    Fantômes au bord du fleuve de l'Eternité.
    Japonaise geisha  qu'on va shibariser,
    Goût du saké, cérémonie du thé,
    Le bleu du soir et puis les alizés.
    <o:p> </o:p>Petite ombre perdue au jardin des délices,
    Qui musique la nuit tombée pour un seul homme,
    Tendre chair en extase au jardin des supplices
    Qui voit Tes doigts sur ses plaies comme un baume.
    <o:p> </o:p>Plus près de nous plus près de nous pour tant
    Et tant et tant de rouge et de cerises,
    C'était nous, c'était nous, mais tout autant ce vent
    De par là-bas auquel je suis soumise,
    <o:p> </o:p>Cette autre houle qui apporte le mascaret
    T'en souvient-il de celui-là, mon Ame,
    Bruit de fond de cette première soirée
    Quand de notre chandelle Tu allumas la flamme...
     
     
     Auteur inconnu
     
    <o:p> </o:p>

    </o:p>

     

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    J'ai rêvé d'une main qui se pose sur moi...



    Une main qui ne se retire pas quand je sursaute méfiante ou inquiète

    Une main qui sache me retenir quand parfois je m'égare...
    Une main qui me reçoit quand moi je me donne...
    Une main qui se sente responsable de ce qu'elle apprivoise...
    Une main qui sache donner autant que recevoir...
    Une main qui donne autant qu'elle exige...
    Une main qui comprenne et mes peurs et mes faiblesses et mes pudeurs
    Une main qui m'apprenne à les dépasser sans jamais se moquer...
    Une main qui sache me caresser, me rassurer et m'attacher...
    Une main qui soit aussi tendre que ferme...
    Une main qui console quand mes cauchemars me hantent
    Une main qui puisse me protéger, me guider, m'éduquer...
    Une main qui ne compare pas et accepte mes défauts...
    Une main qui me tienne quand j'ai peur de tomber...
    Une main qui assume ses actes, ses mots et ses pensées...
    Une main qui avoue ses faiblesses et me montre ses forces...
    Une main qui soit juste en toute circonstance, et maître d'elle-même...
    Une main que je puisse mordiller quand j'ai envie de jouer...
    Une main que je puisse lécher pour la remercier...
    Une main que je puisse embrasser pour la réconforter...
    Une main que je sente sur moi pour pouvoir m'incliner...


    Et cette main là... c'est la Votre...


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />  Il a fait très chaud cette nuit. J'ai beaucoup transpiré sur mon tapis ; mais mon maître a dû, lui aussi souffrir de la chaleur. Je l'ai entendu se remuer dans son lit, tourner et virer. J'en étais malheureuse pour lui ! D'autant que je pensais qu'il serait de mauvaise humeur le matin suivant.Quand je suis allée faire mon tour dans le jardin, il m'a suivie. Je trouvais ça bizarre, mais je n'ai rien dit. Je cherchais un coin tranquille à l'abri des regards pour faire mon petit pipi à l'aise, mais je le surveillais du coin de l'oil. Je le vis s'assoire sur la balancelle. Celle-ci oscillait lentement. Quand j'eu fini, je ne saivais pas trop quoi faire. Devais-je retourner sur mon tapis ? « Viens là, Dolly, me dit il, viens à côté de moi ». Un peu craintive je m'installais à côté de lui, à demi allongée ma tête sur ses genoux. « Ma pauvre Dolly, tu as mal dormi toi aussi, a-t-il ajouté, tout en me caressant ; aujourd'hui se sera vacances pour toi aussi. » Vacances ? C'est quoi des vacances pour une chienne ? Je me sentais bien là près de lui, au calme. Le doux balancement et la caresse délicate m'endormaient, et je crois bien que nous nous sommes endormis tous les deux.Quand j'ai rouvert un oeil, le soleil était haut dans le ciel, et je sentais une main qui me caressait, ou, est-ce cela qui m'a réveillée ? Je ne saurai le dire. « Viens Dolly, il est l'heure de ta douche » me dit-il. Je me levais de la balancelle qui oscilla un peu plus fort, et heureusement que mon maître me tenait car je crois bien que je serai tombée, j'étais un peu engourdie. « Tu vas la prendre seule, aujourd'hui, me dit-il, je vais prendre la mienne, après nous partirons. » Je suis donc allée prendre ma douche, j'en profitais pour me laver les cheveux. En sentant l'eau ruisseler sur mon corps, je me disais que si ce n'était que ça les vacances c'était déjà pas mal. Mais je sentais qu'autre chose allait suivre. Je m'enroulais dans une serviette pour aller dans la petite pièce qui me servait de refuge certain jours du mois, et où mon maître rangeait ma maigre garde-robe. Là sur un cintre, bien en vue, était pendue une magnifique robe couleur d'abricot mur, faite dans un tissu très doux. Je ne résistait pas au plaisir d'y passer le dos de la main, me demandant pour qui diable était destinée cette jolie chose. « Elle te plaît, Dolly? Entendis-je tout à coup, j'espère ne pas m'être trompé dans les dimensions. Je l'ai fait faire pour toi ! » Je regardais mon maître bouche bée. « Eh, bien, dit-il, qu'attends tu ? Enfiles-la. »La soie glissait, toute fraîche sur ma peau brûlante, je n'avais jamais possédé quelque chose d'aussi beau. Pour la première fois depuis bien longtemps je me sentais femme. Il avait à la main les sandales assorties qu'il me tendit avec un doux sourire. Nul doute que s'il m'avait demandé de mettre ma tête sous la guillotine à cet instant, je l'aurais fait. Il me pris par le bras, me conduisit jusqu'à la voiture, où il m'aida à m installer devant, comme une dame. Je restais silencieuse tout le long du trajet qui nous mena dans une délicieuse auberge au bord de la mer. Le restaurant avait été aménagé dans un grand parc, sous des arbres majestueux qui avaient du voir bon nombre de couples amoureux avant nous. Le maître d'hôtel nous conduisit à une table sous une tonnelle, et s'il fut intrigué par ma façon de m'asseoir, jupe relevée et fesses nues, il ne fit aucun commentaire. Mon maître était beau comme un dieu. Il avait un jean noir, qui serrait ses longues jambes musclées, une chemise blanche au col ouvert laissant apparaître une chaîne discrète en or. Je glissais un regard vers lui, il souriait. Bien sur c'est lui qui se chargeât de commander pour nous deux, mais comme il connaissait mes goûts, je ne me sentais en aucun cas offusquée. Au contraire, je me sentais très fière qu'il ait choisit quelque chose que j'aimais. Décidément il avait raison, cette sortie avait un petit air de vacances. « Veux-tu un café Dolly ? » Là je restais sans voix. Le serveur était à côté de nous, et il attendait ma réponse. Je bredouillais un « non merci » digne d'une ado prise en flagrant délit de pensées impures. Je vis mon maître régler l'addition, et se lever. Il me tendit la main que je pris.« J'ai envie de faire quelques pas sur la plage, tu m'accompagnes ? » Comme si j'avais le choix ! D'une part, oui, j'avais envie de l'accompagner, et d'autre part j'avais soudain envie d'autre chose. « Si tu as envie de te mouiller les pieds, tu peux y aller, me dit-il. » J'ôtais mes sandales et courus au bord de l'eau. Les vaguelettes me léchaient les orteils. Mon maître s'était approché et du revers du pied, je luis envoyais une grande gerbe d'eau vers lui qui l'éclaboussa. Il se mis à rire, et se rua vers moi pour me faire tomber. Je résistais vaillamment en riant aux éclats, mais il fut le plus fort. Nous roulâmes, tous les deux dans l'écume qui venait mourir sur la plage. Nous étions trempés mais soudain très heureux parce qu'infiniment complices. Je redoutais un peu le retour, mais rien ne pourrait effacer de ma tête le souvenir du rire de mon maître. Reprenant notre sérieux, nous nous dirigeâmes vers l'auberge. Dans le coffre de la voiture, il prit un sac de voyage, et me prenant la main il me conduisit vers la réception. Là, il demanda la clé. Une évidence : Il avait réservé une chambre. Je me suis mise à trembler, je ne voulais pas croire que cette journée était déjà finie. Mais non. « Je vais prendre une douche Dolly, après ce sera ton tour. En attendant enlève cette robe mouillée. » Quand il revint au bout de quelques minutes, j'étais nue, et je tremblais toujours. « Eh bien quoi Dolly, ne tremble pas, je ne vais pas te manger. Va vite sous la douche, et rince bien tes cheveux ! » Que dire devant tant de délicatesse.Quand je revins, il avait ouvert le lit, et me fit signe de venir près de lui ! « Viens faire dodo, Dolly, ce soir on ira danser ! »Quelle fut douce cette sieste, lovée entre les bras de mon maître, au chaud dans sa douceur ! Il tint sa promesse, après un léger repas pris dans l'auberge, nous sommes allés danser jusque tard dans la nuit. Mon maître semblait heureux et détendu quand il reprit le chemin du retour. Je me suis endormie dans la voiture, ma tête sur son épaule, emmitouflée dans un châle blanc moelleux qu'il avait pris soin de poser sur moi dans la fraîcheur de la nuit. Je sentis comme dans un rêve que le moteur s'arrêtait et qu'on me portait. Je n'arrivais pas à réaliser si ce n'était qu'un songe ou la réalité ! D'ailleurs pourquoi me porterait-on ? Ce ne pouvait être qu'un rêve ! Et j'étais si bien !Quand je me suis réveillée. Le jour pointait à travers les rideaux et j'étais sur mon tapis, nue, juste recouverte du châle blanc.Les vacances étaient finies !

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />  J'avais bien dormi, d'un sommeil sans rêve, sur mon tapis, à ses pieds. J'étais allée faire mon tour de jardin. L'air sentait bon de toutes les essences des arbres du parc, avec un mélange de tous les parfums de fleurs. Quelque soit l'endroit où j'allais, le plaisir était immense. Il faisait doux, et je serai bien restée couchée dans l'herbe. Mais mon maître se serait inquiété s'il ne me voyait pas à ses pieds à son réveil. Alors je suis rentrée, et couchée sur mon tapis je rêvais. J'étais un petit nuage et je survolais le monde." Dolly, debout !" Mon Dieu, mon maître m'appelle, j'ai du me rendormir.Mon bol était prêt, et ô stupeur, j'avais un croissant entier à côté ! Là m'est venue une sourde inquiétude. Je n'avais pas plus faim que d'habitude, et quémander quelques miettes faisait partie d'un jeu, mais un croissant entier, m'inquiétait. Je le mangeais doucement, en jetant des regards furtifs à mon maître. Il n'était pas question que je le laisse, pourtant, car là, il aurait eu des raisons d'être en colère contre moi. Mais mon maître lisait son journal, en mangeant les siens. J'ai eu fini bien avant lui, et j'attendais sagement, assise a côté de sa jambe. Sa main vint se poser sur ma tête en une caresse toute douce. Là, de l'étonnement, je passais à la stupeur ! Bien sur, il me caressait parfois, mais jamais le matin. Il n'aimait pas que je perturbe son petit déjeuner. Je crois, plutôt qu'il avait du mal à se réveiller. Mais j'étais bien là, assise appuyée sur sa jambe. Ce contact me tenait chaud, et cette caresse subtile m'envahissait complètement et réveillait mes sens endormis. Il plia son journal, finit son bol et se leva. Je me sentais tout d'un coup abandonnée. J'avais froid.« Viens Dolly, me dit-il, je vais te faire belle ».Je me levais, un peu inquiète. Me faire belle ? Pourquoi faire ?Dans la salle de bain, il me lava ma longue crinière, puis tout le corps. C'était doux, c'était tendre, mais rien de subjectif. Je me laissais faire docilement, en essayant de comprendre où il voulait en venir. Il me sécha avec la même tendresse, me démêla les cheveux, et les tressa. Je trouvais ça de plus en plus bizarre, lui qui aime tant que je les laisse libre. Je tentais un regard vers lui, il souriait. De plus en plus étrange. Non pas que mon maître n'aimât pas la plaisanterie et l'humour, mais il est vrai qu'il sourit rarement, surtout comme ça sans raison ! Il m'enfila un vêtement qui était ma foi fort joli : le haut composé d'un bustier blanc orné de perles multicolores, le bas d'une jupe longue, blanche. C'est vrai que je me sentais élégante, tout à coup. Sans doute, l'espace d'une minute, le simple plaisir de redevenir femme et de plaire. Puis il apporta un bijou : un collier ras du cou en argent avec un anneau devant auquel pendait une petite boule qu'il dévissa devant moi. Il alla a sa table de travail, écrit quelque chose sur un tout petit papier, et revint le placer dans la boule, qu'il ferma. « Tu vois Dolly, si tu te perds, on saura que tu es à moi ! » Le rêve est fini, je suis redevenue la chienne. Je baissais la tête, vaincue. Il attacha une laisse de cuir fin à l'anneau et me dit : « Viens Dolly, on va en ville. »Le trajet en voiture ne fut guère long. Une dizaine de minutes, mais j'étais comme grisée. Il y avait tant à voir dans une région que je ne connaissais pas. Il s'arrêta devant un grand bâtiment dans une sorte de zone artisanale. Sur la porte, il y avait une plaque « cabinet vétérinaire ». Je me suis mise à trembler. « N'ai pas peur Dolly, me dit-il, c'est juste une vaccination, je ne voudrai pas que tu attrappes une cochonnerie en te piquant dans le jardin ! »Il prit la laisse dans la main et nous entrâmes. Horreur, il y avait un couple dans la salle d'attente. La dame parut outrée, et l'homme goguenard. Nous restâmes debout, mon maître ne voulut pas m'infliger le supplice de m'assoire à ses pieds devant témoins. Je gardais les yeux baissés, mais je me sentais blessée de ce regard. Enfin le vétérinaire nous fit entrer dans son cabinet. C'était un ami de mon maître, et il lui expliqua que ces gens n'étaient pas prévus dans son planning. « Ce n'est pas grave, répondit mon maître, Dolly s'est bien comportée ! »« Voyons ta chienne, » dit-il, en essayant de mettre ses doigts dans ma bouche. Là c'est un geste que je déteste vraiment. Mais je suis obéissante, et j'ouvrai la bouche en faisant la grimace. « Belle dentition » dit-il« Fais là monter sur la table. »Mon maître m'aida à monter sur la table, à quatre pattes, bien sur. L'homme releva ma jupe, et je sentais son doigt qui faisait des évolutions autour de mon petit trou. J'avais la jupe retroussée sur le dos, le cul en l'air, les reins creusés et je m'attendais au pire. Soudain le doigt rentra violemment. Je poussais un petit cri, je sentais ce doigt qui tournait dans mon cul comme pour l'élargir, et le collier qui me serrait le cou car mon maître tenait très fermement la laisse au plus court pour m'empêcher de bouger. Puis il y eu deux doigts je pense, je commençais à avoir mal. Je me trémoussais et mon maître se crispait sur la chaîne. Puis trois doigts.. Puis quatre.. « Je n'irai pas plus loin aujourd'hui, dit le vêto, elle est un peu étroite, tu devras faire ça au moins une fois par jour, pendant un mois, et tu me la ramèneras après, mais pour l'instant tu peux l'enculer à l'aise. Voyons le reste. »Le reste, c'était mes mamelles qu'il tritura allègrement. Ensuite il glissa la main dans mon sexe, écarta durement les lèvres, tritura le clitoris et s'écria « Elle est en chaleur ta pute ! »Je me suis senti rougir. Le vétérinaire riait : « Tu peux la saillir de suite si tu veux ! » et mon maître lui répondit : « Si le cour t'en dis, je te la prête ! » Je n'ai pas pu m'empêcher de crier : « Noooon ! » « Comment ? Dit mon maître, depuis quand tu as quelque chose à dire ? Tu vas voir ton cul ! » Et je vis apparaître dans sa main, venue de je ne sais où, une cravache dont il se servi pour me cingler le cul, dix fois au moins. « Je vais t'enculer petite pute, dit le veto ! Je suis sure que tu vas aimer ça ! » Et je sentis un membre puissant m'enculer, me remplir . Et la salope que je suis, jouit du cul.La main de mon maître vint s'enfoncer dans mon sexe de femelle et en ressortie toute mouillée. « Mais elle aime ça en plus, t'as vu ? Dit-il à son ami, on réglera ça à la maison Dolly ! » J'avais les fesses en feu, le cul en feu. La honte au visage ! Qu'un autre m'est prise devant mon maître, et que j'avais aimé ça ! « C'est pas tout ça, t'es venu pour une vaccination ! Mais là, je n'ai pas ce qu'il faut. Il faudra que tu reviennes quand elle sera prête. » Il rabattit ma jupe non sans une claque violente sur mes fesses déjà éprouvées qui me fit gémir et lui rire !Je crois que dorénavant je me méfierai des matins-croissant !   Ps : Ces pages circulent sur Internet, je n'ai pas retrouvé,ni ne connais pas l'auteur, j'ai changé le nom et si la personne se reconnaît, ce n'est qu'un hommage de plus à sa qualité de "chienne" qui est rendu

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