Acte I Scene I (Zopire, Phanor.)

Zopire.
Qui ? Moi, baisser les yeux devant ses faux prodiges !
Moi, de ce fanatique encenser les prestiges !
L' honorer dans la Mecque après l' avoir banni !
Non. Que des justes dieux Zopire soit puni
si tu vois cette main, jusqu' ici libre et pure,
caresser la révolte et flatter l' imposture !

Phanor.
Nous chérissons en vous ce zèle paternel
du chef auguste et saint du sénat d' Ismaël ;
mais ce zèle est funeste ; et tant de résistance,
sans lasser Mahomet, irrite sa vengeance.
Contre ses attentats vous pouviez autrefois
lever impunément le fer sacré des lois,
et des embrasements d' une guerre immortelle
étouffer sous vos pieds la première étincelle.
Mahomet citoyen ne parut à vos yeux
qu' un novateur obscur, un vil séditieux :
aujourd' hui, c' est un prince ; il triomphe, il
domine ;imposteur à la Mecque, et prophète à Médine,
il sait faire adorer à trente nations
tous ces mêmes forfaits qu' ici nous détestons.

 

Voltaire

C'est l'image qui me vient quand je lis la betise et la méchanceté gratuite sur certains bloggs. La solitude, le néant, la jalousie, la rancoeur.... pauvre monde

Aujourd'hui journée GGGGrrrrrrrrr. alors qu'il devrait y avoir tout pour faire des gens heureux ' c'est pas moi qui le dit c'est le gouvernement, tout va bien) y'en qui passe leur temps à vous pourrir la vie. Le genre de fin de race attardée ( moi je dis que la révolution française elle a en laisser trop passer)  qui vous prend pour le grouillot de service et maltraite  ceux qui pense ne pas avoir le droit de se rebeller ( en l'occurrence de charmantes stagiaires). Le genre de personne qui devant plus haut qu'eux vont faire des courbettes et du leche bottes et des qu'ils sont seuls vont se prendre pour le roi du monde. Je déteste , je déteste, je déteste. Je déteste que l'on vienne me pourrir l'existence, alors que j'essaye, je dis bien j'essaye de faciliter celles des autres.

Le premier qui passe, je le mords..... GGGGggggRRRRRR