• Mémoire de chienne II

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />  J'avais bien dormi, d'un sommeil sans rêve, sur mon tapis, à ses pieds. J'étais allée faire mon tour de jardin. L'air sentait bon de toutes les essences des arbres du parc, avec un mélange de tous les parfums de fleurs. Quelque soit l'endroit où j'allais, le plaisir était immense. Il faisait doux, et je serai bien restée couchée dans l'herbe. Mais mon maître se serait inquiété s'il ne me voyait pas à ses pieds à son réveil. Alors je suis rentrée, et couchée sur mon tapis je rêvais. J'étais un petit nuage et je survolais le monde." Dolly, debout !" Mon Dieu, mon maître m'appelle, j'ai du me rendormir.Mon bol était prêt, et ô stupeur, j'avais un croissant entier à côté ! Là m'est venue une sourde inquiétude. Je n'avais pas plus faim que d'habitude, et quémander quelques miettes faisait partie d'un jeu, mais un croissant entier, m'inquiétait. Je le mangeais doucement, en jetant des regards furtifs à mon maître. Il n'était pas question que je le laisse, pourtant, car là, il aurait eu des raisons d'être en colère contre moi. Mais mon maître lisait son journal, en mangeant les siens. J'ai eu fini bien avant lui, et j'attendais sagement, assise a côté de sa jambe. Sa main vint se poser sur ma tête en une caresse toute douce. Là, de l'étonnement, je passais à la stupeur ! Bien sur, il me caressait parfois, mais jamais le matin. Il n'aimait pas que je perturbe son petit déjeuner. Je crois, plutôt qu'il avait du mal à se réveiller. Mais j'étais bien là, assise appuyée sur sa jambe. Ce contact me tenait chaud, et cette caresse subtile m'envahissait complètement et réveillait mes sens endormis. Il plia son journal, finit son bol et se leva. Je me sentais tout d'un coup abandonnée. J'avais froid.« Viens Dolly, me dit-il, je vais te faire belle ».Je me levais, un peu inquiète. Me faire belle ? Pourquoi faire ?Dans la salle de bain, il me lava ma longue crinière, puis tout le corps. C'était doux, c'était tendre, mais rien de subjectif. Je me laissais faire docilement, en essayant de comprendre où il voulait en venir. Il me sécha avec la même tendresse, me démêla les cheveux, et les tressa. Je trouvais ça de plus en plus bizarre, lui qui aime tant que je les laisse libre. Je tentais un regard vers lui, il souriait. De plus en plus étrange. Non pas que mon maître n'aimât pas la plaisanterie et l'humour, mais il est vrai qu'il sourit rarement, surtout comme ça sans raison ! Il m'enfila un vêtement qui était ma foi fort joli : le haut composé d'un bustier blanc orné de perles multicolores, le bas d'une jupe longue, blanche. C'est vrai que je me sentais élégante, tout à coup. Sans doute, l'espace d'une minute, le simple plaisir de redevenir femme et de plaire. Puis il apporta un bijou : un collier ras du cou en argent avec un anneau devant auquel pendait une petite boule qu'il dévissa devant moi. Il alla a sa table de travail, écrit quelque chose sur un tout petit papier, et revint le placer dans la boule, qu'il ferma. « Tu vois Dolly, si tu te perds, on saura que tu es à moi ! » Le rêve est fini, je suis redevenue la chienne. Je baissais la tête, vaincue. Il attacha une laisse de cuir fin à l'anneau et me dit : « Viens Dolly, on va en ville. »Le trajet en voiture ne fut guère long. Une dizaine de minutes, mais j'étais comme grisée. Il y avait tant à voir dans une région que je ne connaissais pas. Il s'arrêta devant un grand bâtiment dans une sorte de zone artisanale. Sur la porte, il y avait une plaque « cabinet vétérinaire ». Je me suis mise à trembler. « N'ai pas peur Dolly, me dit-il, c'est juste une vaccination, je ne voudrai pas que tu attrappes une cochonnerie en te piquant dans le jardin ! »Il prit la laisse dans la main et nous entrâmes. Horreur, il y avait un couple dans la salle d'attente. La dame parut outrée, et l'homme goguenard. Nous restâmes debout, mon maître ne voulut pas m'infliger le supplice de m'assoire à ses pieds devant témoins. Je gardais les yeux baissés, mais je me sentais blessée de ce regard. Enfin le vétérinaire nous fit entrer dans son cabinet. C'était un ami de mon maître, et il lui expliqua que ces gens n'étaient pas prévus dans son planning. « Ce n'est pas grave, répondit mon maître, Dolly s'est bien comportée ! »« Voyons ta chienne, » dit-il, en essayant de mettre ses doigts dans ma bouche. Là c'est un geste que je déteste vraiment. Mais je suis obéissante, et j'ouvrai la bouche en faisant la grimace. « Belle dentition » dit-il« Fais là monter sur la table. »Mon maître m'aida à monter sur la table, à quatre pattes, bien sur. L'homme releva ma jupe, et je sentais son doigt qui faisait des évolutions autour de mon petit trou. J'avais la jupe retroussée sur le dos, le cul en l'air, les reins creusés et je m'attendais au pire. Soudain le doigt rentra violemment. Je poussais un petit cri, je sentais ce doigt qui tournait dans mon cul comme pour l'élargir, et le collier qui me serrait le cou car mon maître tenait très fermement la laisse au plus court pour m'empêcher de bouger. Puis il y eu deux doigts je pense, je commençais à avoir mal. Je me trémoussais et mon maître se crispait sur la chaîne. Puis trois doigts.. Puis quatre.. « Je n'irai pas plus loin aujourd'hui, dit le vêto, elle est un peu étroite, tu devras faire ça au moins une fois par jour, pendant un mois, et tu me la ramèneras après, mais pour l'instant tu peux l'enculer à l'aise. Voyons le reste. »Le reste, c'était mes mamelles qu'il tritura allègrement. Ensuite il glissa la main dans mon sexe, écarta durement les lèvres, tritura le clitoris et s'écria « Elle est en chaleur ta pute ! »Je me suis senti rougir. Le vétérinaire riait : « Tu peux la saillir de suite si tu veux ! » et mon maître lui répondit : « Si le cour t'en dis, je te la prête ! » Je n'ai pas pu m'empêcher de crier : « Noooon ! » « Comment ? Dit mon maître, depuis quand tu as quelque chose à dire ? Tu vas voir ton cul ! » Et je vis apparaître dans sa main, venue de je ne sais où, une cravache dont il se servi pour me cingler le cul, dix fois au moins. « Je vais t'enculer petite pute, dit le veto ! Je suis sure que tu vas aimer ça ! » Et je sentis un membre puissant m'enculer, me remplir . Et la salope que je suis, jouit du cul.La main de mon maître vint s'enfoncer dans mon sexe de femelle et en ressortie toute mouillée. « Mais elle aime ça en plus, t'as vu ? Dit-il à son ami, on réglera ça à la maison Dolly ! » J'avais les fesses en feu, le cul en feu. La honte au visage ! Qu'un autre m'est prise devant mon maître, et que j'avais aimé ça ! « C'est pas tout ça, t'es venu pour une vaccination ! Mais là, je n'ai pas ce qu'il faut. Il faudra que tu reviennes quand elle sera prête. » Il rabattit ma jupe non sans une claque violente sur mes fesses déjà éprouvées qui me fit gémir et lui rire !Je crois que dorénavant je me méfierai des matins-croissant !   Ps : Ces pages circulent sur Internet, je n'ai pas retrouvé,ni ne connais pas l'auteur, j'ai changé le nom et si la personne se reconnaît, ce n'est qu'un hommage de plus à sa qualité de "chienne" qui est rendu

  • Commentaires

    1
    Lundi 14 Août 2006 à 18:09
    Très belle suite
    en effet, mais sans commentaire de ma part, du moins pas ici. Bises.
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