• Exhibition

    Il est cinq heures.. Paris s'éveille....
    Elle aussi, lentement, tout doucement, bercée par la chaleur de leurs corps assoupis et de ses rêves.


    Tout est noir dehors, silencieux.. a ses cotés, de l'autre coté, il respire fort, régulierement, immobile, si profondément. Elle s'enfonce davantage sous la moiteur de leur sommeil, et tel un rêve éveillé, les images défilent, délicieusement..


    Elle a le temps, elle est si bien.... le réveil sonnera a six heures et demi.....


    Quelques heures plus tôt.....Inexplicablement, il était devenu immédiatement comme une deuxième peau, soyeux, brillant, caressant de douceur, chaud comme ses mains.


    Il se refermait sur ses chairs, rassurant, protègeant, enveloppant, comme un gant épouse une main, une chaussure sur mesure un pied.


    Ses doigts frolèrent son échine, quelques traces de peau, ses gestes secs fixèrent les lacets, et tout le buste, le corps, sauta, tressauta, chancelant, dansant, deja..


    Ses effleurements si légers, la concentration de son regard, l'intimité de ce petit réduit encombré, ce miroir magique ou l'image se dessine, son souffle sur sa nuque, la soie des bas lentement réajustés, chaque geste prend sa place, naturellement, comme dans une piece mille fois répétée, comme le soleil eclaboussant la mer a l'aurore, comme le chant des oiseaux annoncant l'aube.


    Prisonnière d'exception de son satin libérant par magie les entraves acquises, elle contempla avec ravissement la douce chaleur qui irradiait ses entrailles, réajusta le cuir au gode bien planté dans sa chatte furieusement juteuse, ferma les yeux un instant, et s'envola, encarcannée de sa marque, en pays inconnu...


    Ils s'en allèrent, elle, blottie a son bras, souriants du joug subtil qu'il venait de lui poser . L'enchantement commencait...


    Comment si peu de chose peut émouvoir, transformer, lier, plonger dans l'irréel, si réel?


    Où  se niche ce pouvoir de délice charnel, né d'une simple étoffe devenue vivante, empreinte de leurs desirs?


    Quels sont donc ce bien-être dans l'inconfort, cette confusion dans le détail, cette liberté dans sa contrainte?


    Les bruits, les gens,l'agitation trépidante de la ville, rien ne les atteignait.


    Ils dégustaient tout, a leur rythme, les mets légers et délicieux, les décors simples et rutilants, les rues calmes et encombrées, les vins lourds et épicés, les fleurs du parc, le thé brûlant, le goût du tabac.


    Elle, droite, cotonneuse d'étouffement, ruisselante...lui, calme, l'esprit bouillonnant, émoustillé et fier de son embarras.


    A leur habitude, tout glissait, calmement, petits mots, gestes simples, tout et rien, regards entendus, temps suspendu, sourires de douceur, allusions électriques.


    C'était étrange pour elle, inexplicable, à la fois serein et sauvage, fort et doux, froid et chaud, réservé et fusionnel. Elle etait bien.


    Tac tac tac, les talons résonnent sur les paves, vent glacial et pénétrant, ambiance feutree, tourbillonnante, tout est si chaud, si calme, si bon..


    Tel un volcan paisible et endormi qui, tout à coup, gronde et explose, le trouble les gagne peu à peu, comme ça, sans crier gare, et la lave coule...


    Elle ne sait plus comment il l'a prise, ici et là, le parking, l'ascenceur, la rue, la voiture, par terre, debout, partout, avec ses doigts, le gode, sa queue.


    Elle, léchant, sucant, affamée de sa verge éclatante, tortillée et ondulante de son ardeur, gémissante et criante sous les coups de volants incertains, sa bitte tressautante, calée voluptueusement dans la gorge, langue tournante.


    Ballet interminable de leurs sens, toujours plongé dans la fureur de son souffle court, de ses regards, de ses envies, de ses mains bien calées sur les hanches dessinées...Encore et encore, mouillant au-delà de ce latex fouillant, de sa taille suffocante, les seins écrasés, rebondis, chatte obscène, gonflée de mouille, libérée pour être mieux pénétrée, fouillée, explorée, comblée, martelée.


    Sa chienne, sa machine a jouir, a crier, a trembler. Sa chienne lubrique dont il dispose et se plait a regarder, entendre et sentir, à branler, défoncer et faire jouir.


    Tourbillon incessant de plaisirs lubriques, de jouissances profondes, vibrant de leurs envies délirantes, de sa queue dure et gonflée, chaude et douce, caressante et pénétrante, de sa chatte coulante, gourmande, odorante et éclaboussante. Tout s'emmêle, s'entremêle se démêle.


    Leurs frémissements font vibrer les murs blancs, rougir les roses dans le vase bleu, glisser le cuir vert, étinceller leurs pulsions, jouir leurs instincts.


    Tout s'enchaine, explose, bain d'erotisme, de luxure et d'animalite, sur la peau devenue satin, le satin devenu peau.


    Le bleu de son regard se fond dans l'azur de son abandon, l'éclat diabolique de ses yeux et de son sourire l'emportent dans son appartenance..


    A chaque tempête, sa mer d'huile, parfumée, sucrée, salée, délicieuse, a l'infini. Les vagues à nouveau déferlent, gonflent, explosent et se fracassent, et puis s'ecrasent, doucement, léchant , sensuelles, le rivage.


    Lever, zenith, coucher, il n'y a plus d'heure, plus de jour, plus de nuit. Que le mélange de salive, de jus et de sève, de cris et de râles, de leurs corps suants, en quête de plus, plus loin, dans la folle farandole de leurs folies.


    Tout est prêt, ils s'en vont dans la nuit, promesse de surprises, découvertes, inconnu, imprévu.


    Il la prépare, vite, en cachette, ses doigts sont fébriles mais les gestes précis, rapides, experts. Ses yeux petillent, ca lui plait.


    Bras entraves, corps ficelé, cuir en croix, chevilles ornées de bracelets, collier, laisse, gode bien enfoncé, bouche rouge, gourmande.


    Il regarde, satisfait, lui sourit, lui dit qu'elle est belle, pose le masque, ses yeux y brillent.


    Elle se regarde une derniere fois, elle aime ce qu'elle voit... pose sa main dans la sienne, confiante.


    Elle ne voit rien, quelques personnes, les yeux au sol, elle mouille, tremble, exhulte en meme temps, se demande tout à coup ce qu elle fait la, dans ce lieu perdu, coincée, entravée, déguisée, pour son plaisir àlui, plaisir d'exhiber son trophée, pour son plaisir à elle, plaisir d'être son trophée...


    Elle se redresse, droite et fière, les regarde finalement tous, un à un, droit dans les yeux, sourire aux lèvres et voit l'effet dans leurs regards. Elle se sent soudain belle, desirable, brillante sous les bougies, sous les voutes, belle et fière qu'il la tienne en laisse, sienne, chienne.


    Il lui fait visiter les étages, comme on visite une villa temoin, voici la cage, la croix, la table...elle s'affolle, ses pensées se brouillent, elle s'y voit, ne demande rien, le suit.


    Tout va très vite, il lui parle d'anneaux au plafond, elle rit incrédule, lui aussi mais sûr de lui, sûr d'elle. Sa seule réponse est une attache entre les chevilles.


    Tic tac tic tac a tous petits pas.


    Elle n'est plus rien, qu'une chose qu'il traine en laisse, qui ne peut marcher, bouger, sautillant, ridicule et belle, honteuse et pourtant étrangement si bien.


    La laisse passe dans un anneau, la voila exposée a la vue de tous, tête légèrement relevée, tirée par la laisse.


    Elle les regarde a nouveau un a un, serrant les cuisses pour cacher le gode, comme si le reste ne comptait pas, le gode c'est son secret.


    Sa chatte remplie, c'est son plaisir. Son plaisir a lui, son plaisir a elle. Regards complices, rassurants.


    Elle contracte ses muscles , sent sa mouille inondant le cuir. C'est chaud, c'est bon.


    Pour un peu, elle éclaterait de rire de le garder bien au chaud, àl'insu de tous, présence secrete de son désir d'elle.


    Elle pend, poupée a la fois ridicule et appétissante, bandante et magnifique diront-ils, image de son pouvoir sur elle, chose articulée et vivante, coincée et ondulante .


    Face à elle, à deux pas, une femme aux jambes écartées, robe relevée, obscène, chatte sombre, poilue. L'homme, a ses cotes, lui astique de sa cravache les seins sous la robe, l'air morose,en regardant intensément cette poupée vivante.


    Il en bande, elle le voit, le sait.


    Frustration.


    Elle pensait rester la, attachee, fière, couvée de ses regards de lui, fier d'elle. Très vite, elle se sentit à l'aise à pavaner, à lire l'étonnement, le desir dans leurs yeux...


    Elle finissait par s'y trouver bien, a apprécier vicieusement d' être regardée, coups d'oeil lubriques des hommes, étonnés des femmes, admiratifs de tous. Elle se plait meme à tourner, un peu a gauche, un peu à droite, pour bien leur montrer tout ce corps fier de sa nouvelle peau, arrogant de sa taille pincée, de ses hanches marquées, de ses seins débordants, de cette chair disponible..


    Un peu les fesses, jeux de jambes, buste en avant, yeux de velours, sourire engageant. Elle fait son show, le rôle lui plait.


    Il revient avec une corde, lui attache au plafond ses bras deja entravés dans le dos.


    Tout bascule, tout chavire, les seins explosent, les reins se creusent, le cul ressort. Elle n'ose plus se regarder dans le miroir. Elle ne peut plus bouger, elle tire à gauche, le cou s'étrangle, elle tire à droite, ses bras l' écartèlent. Elle ne sourit plus, elle tremble de honte de sa pose, de ses pensées lubriques, de sa frustration de ne pas etre prise, là, tout de suite, fort, de sa queue magnifique.


    Elle le regarde, il la regarde. Il semble content de lui. Il contemple sa poupée suspendue en sirotant son whisky, fumant sa cigarette, ravi, souriant.


    Elle voudrait tant qu'il vienne, membre gonflé surgissant de la braguette, qu'il s'enfonce dans sa bouche, qu'elle le lèche et le suce devant eux tous, que le temps s'arrête, qu'il la renverse, la prenne, elle, sa chienne.


    Elle en jouit presque en y pensant.


    Frustration.


    Il s'approche, enfin, va la libérer, l'emmener, l'entourer, la rhabiller, la combler.


    Finie la representation, la soiree est terminee.. Rideau baissé... Au revoir M'ssieursdames....pense t-elle...


    Son sourire l'encourage dans ses envies de lui, elle, sa chose, son pantin, prête a tout, sublimation de son désir de lui, de son désir d'elle.


    Il s'approche, tout près, elle sent son souffle, son odeur. Il lui parle doucement et ses mains chaudes se posent sur ses seins, les sortent du carcan soyeux, ses doigts pressent les bouts, elle murmure...non non, pas devant tout le monde !


    Mais les gestes sont précis, il la connait si bien. Il insiste, plus fort, plus vite. Ses seins bandent sous ses doigts précis. Elle ne peut résister, c'est trop bon, elle se contracte sur le gode , il la regarde droit dans les yeux, Il veut qu'elle jouisse la, de toute sa voix, de toute son impudeur, que toute la sève de son ventre s'écoule, qu elle leur montre l'emprise qu'il a sur elle, rien que du bout de ses doigts, de son regard sur elle...


    Elle se défend, un peu, et se tortille, s'étrangle, gémit, crie, supplie, jouit, delicieusement,honteusement.


    Il la laisse, pantelante, chancelante, humiliée, prisonnière de son plaisir, baveuse d'envies. Elle ne regarde plus personne, elle a senti leurs regards sur son corps gigotant, étranglé, jouissant. Elle en a joui plus vite, plus fort, plus profondement. Paradoxe de plaisir.


    Le spectacle est compris dans le prix Messieurs Dames, bandez, mouillez, regardez-la, elle aime ca. En voulez-vous encore?


    Frustration.


    Marionette noire et chancelante, elle le suit. Elle s agenouille pres de lui, ca fait partie du jeu..Quel jeu?...


    Un verre, une cigarette, elle n'ose meme pas imaginer ce qui pourrait arriver.


    Elle se fait toute petite, presqu'impersonnelle, elle aimerait etre toute en noir, longue robe, emmitouflée, invisible, inexistante, fondue dans le decor.. elle ne peut plus affronter leurs regards, leurs envies, leur échauffement.


    Elle est au-dela de sa honte, elle baisse les yeux, la tête.


    Les étages, à nouveau, tic tac tic tac, les petits pas, les marches infranchissables, comme une automate.


    Les corps exposés, denudes, culs offerts, fesses fouettées, seins sucés, chattes et queues léchées, branlées, tout se brouille sous ses yeux.


    Il la branle devant eux, encore et encore, ici et la. Il enfonce le gode une fois, dix fois, vingt fois, la bourrant de sa force, ses doigts glissent dans les jus, elle ne sait plus, glisse contre le mur, étouffe ses cris qu elle ne peut retenir, submergée de honte, l'implorant de ses yeux d'arreter, de s'eclipser.


    Il rit, gentiement, continue, la force à feuler et exploser sous leurs yeux, à couler sous sa main.


    Elle jouit honteusement avec délice, s'inondant de son sourire satisfait, magie cotonneuse de son pouvoir sur elle.


    Elle n'est plus que sa frustration sautillante, son objet désirant, sa poupée jouissante, sa chose vivante.


    Sa chienne, machine à jouir...


    Et puis à genoux,à quatre pattes, les mains qui fouillent, pincent, fessent, ses mains, c'est bon...Et puis les mains de l'autre, mechantes, grincantes, qui lui tordent le sein gauche sous une voix douce et controlée, qui enfoncent sans vergogne ses doigts dans son cul qui se ferme.


    Elle supplie qu'il s'arrête, elle le regarde sur le coté de son masque...NON ! NON ! NON !.


    L'homme continue, elle pleure, en silence, tête baissée, il n'entend pas ses demandes, il avait pourtant promis, elle ne comprend pas.


    Plus elle dit non, plus l'homme continue, ses doigts heurtant le gode, s'acharnant sur le clitoris disponible, pincant, rude, brutal.


    Il dit a l'homme...elle a un gode dans la chatte....L'homme continue..


    Elle n'en croit pas ses oreilles....L'homme propose de s'acharner sur elle, sur la table...Visions d'enfer. Ténèbres.


    Voile noir, seule au monde, a subir, sans plaisir, juste rien, elle n'est plus rien, que des trous, de la chair, de la mouille, moins qu'une pute, seule.


    Cela se prolonge pendant longtemps, trop longtemps, elle se défend, devient hargneuse.


    Finalement, il semble comprendre, demande a l'homme d arrêter, la relève, la prend dans ses bras, la rassure.


    Elle veut juste le mordre, partir, rentrer, s'évanouir dans la nuit noire, trouver refuge, se laver, oublier.


    Son épaule est ferme, ses mains chaudes, son corps solide, ses mots doux, ses baisers tendres.


    Elle se calme, il s'excuse, le lien a presque cassé, fragile, ténu, prêt à se rompre. Elle ne peut rien dire.


    Elle ravale son humiliation, humiliée, souillée. L'homme s'en va, enfin.


    Ils n'ont pas besoin de mots pour expliquer. Mysterieusement, ils se retrouvent, se fondent a nouveau, c'est bon, c'est chaud.


    Les mots, c'est pour après, quand tout s'apaise, se civilise, rentre dans l'ordre, celui de l'autre cote du miroir.


    Tendre symbiose, alchimie des corps et des esprits, instincts mêlés de subtilités et de sueurs, ils retrouvent leur univers etrange, gorgés d'eux-memes, de leur bien-être, de leur sexes embrasés et des désirs fous du fond de leurs delires.


    Parenthèse.


    Spectacle de bougies, inouï d'ombres et de lumières, cris brefs et lugubres, fascinant d'audace brûlante, inquiétant d'inconscience.


    Il regarde intensément, subjugue, étonné, mettant en gardes, presque revolté.


    Un couple s'approche, la femme, a moitié nue, comme dans ce club parisien, passe son chemin sans un regard, monte a l'étage.


    L'homme s'arrête, hésite, la laisse aller. Situation grottesque, l'homme ne résiste pas, se plante devant eux, s'assied, plante ses doigts dans sa chatte trempée, apprecie, prêt à plus, il n'attend qu'un mot, l'homme a deja oublié celle qu'il suivait.


    Il gagne au change.... Son haleine pue l'alcool. Elle dit non, merci. Il ne veut pas que cet homme la touche.


    Un autre vient demander poliment qu'elle vienne lécher la chatte sombre de sa femme.


    Elle dit non, merci, poliment. Pas celle-la.


    Il ne peut s'empecher de la toucher, tendrement, l'épaule, le cou, les fesses...de la combler de ses doigts, appreciant les jus qui giclent.


    Elle doit garder les deux verres en main, chavire, gémissante, tout s'embrase, tout explose, tout vacille.


    Il lui offre sa queue, toujours si dure, si gonflee, manège incessant de leurs sexes desirants .


    Elle leche, suce, aspire, se repait, s'abreuve et se nourrit. Elle scrute toujours son regard, sa langue tournant sur le gland, elle y lit toujours l'envie de plus...


    Alors, d'un coup, elle l'engloutit au plus profond de sa gorge, jusqu'à l'étouffement, ferme les yeux, et tout tourne, enchantement divin, le gode surnageant, noye, baveux, degoulinant. Elle se remplit de lui...sa bouche à pipe...


    Elle ondule. Bougies coulantes, frissonnantes.


    Tout le monde regarde, elle ne voit plus, ne sait plus, les ignore.. le tourbillon magique s'est emballé. Les étincelles brillent. Plus rien ne compte que sa queue toujours plus profondément enfoncée dans sa gorge. Les coups de boutoirs dans sa bouche écartelée..;et encore son plaisir à elle au moment de son plaisir à lui....sasève qu'elle avale gouluement sans en perdre une goutte...nectar divin...


    Comme ils sont venus, ils sont repartis, souriants, complices, frémissants de tous leurs sens, submergés d'émotions..Ils reviendront..


    Leurs délires continuent, enfouis dans le firmament, caressés par les étoiles, explosants au vent, bercés par leurs pas...


    Le réveil sonne, il se tourne lentement vers elle... elle se laisse glisser contre lui, douce et chaude....


    Auteur : inconnu




     


    Photo Arne Jahn


  • Commentaires

    1
    Senso
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:31
    beau texte
    emouvant dommage de ne pas connaitre l'auteur
    2
    Morticia
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:31
    sombre
    et sexuel comme j'aime
    3
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:33
    bonsoir Senso
    je ne connais pas l'auteur et dommage c'est vrai ! j'ai trouvé ce texte sur le net !
    4
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:33
    bonsoir Morticia
    je ne te connais pas mais ravie que ça te plaise
    5
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:52
    Bonsoir Lumière...
    ... uen bien belle découverte en tout cas... vous savez mon gout pour les textes "orientés"... ;))
    6
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 17:56
    bonsoir toula
    je crois connaitre et reconnaitre ces gouts que je partage ;))Et cettre reprise pas trop dure?
    7
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 18:03
    Ne m'en parlez pas...
    ... mais ça va, je survivrai.... rires... Ah ces écrits... combinés à une imagination visuelle puissante... çà donne un film intérieur à croquer...
    8
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 18:05
    rires
    ... j'aimerai que l'exterieur se fasse croquer aussi .... bon courage pour cette reprise alors et surtout pas de fatigues inconsidérées ;)
    9
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 18:13
    Croquer...
    ... dieu que ce verbe peut prêter à laisser son imagination à vagabonder... Il y a tant de douceurs à croquer... se régalant de ce jus qui envahit la gorge... et de cette coquine petite goutte qui s'en va descendre le long du cou... jusqu'entre ses deux... oups je m'égare... ;)
    10
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:31
    c'est tres joli
    et imagé ces egarements toula.. ici fais comme chez toi ;)
    11
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:44
    'soir Lume
    ouf ! tu m'as donné chaud là. Belle émotion. C'est un monde qui n'est pas le mien, mais je comprends... je comprends... petit à petit. Bizzz, JB (PS : un texte sympa aussi chez moi ce soir, humoristique)
    12
    BLack pearl
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:44
    elegance et
    raffinement ici je repasserai
    13
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:46
    Je viens de lire
    JB et j'ai beaucoup ri ! (cf petit commentaire) belle soirée à toi
    14
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:46
    bonsoir Black
    merci du compliment et bonne visite
    15
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 19:51
    J'ai vu ton msg
    chez moi. Merci de passer. Je voulais te remercier. Grâce à toi j'ai découvert le site LPDP, je m'y suis inscrit, sous le pseudo de "In Poésie", et je publie là bas mes poèmes (limité à 3 par semaine :(((. J'aimerais bien un jour composer un texte à dexu voix avec toi, un écho... Envie ? Bizzz poétiques, JB
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      Commentaire :


    16
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 20:35
    Lumières...
    ... je n'oserai faire comem chez moi che toi... mais cette invitaiton peut être un doux prétexte à laisser les mots [maux] jouer à leur guise...
    17
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 20:42
    Je suis contente
    que ce site t'ai plu JB. EN plus je suis flattée et touchée de ta proposition. Cela me ferait tres plaisir mais ma plume n'a pas la meme facilité ni la même profondeur que la tienne. Mais pourquoi pas?
    18
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 20:43
    juste pour te dire
    bienvenue toula :)
    19
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 21:43
    La bienvenue...
    ... heureusement, pour moi qui parcours les routes de ton blogs parfois en comm, parfois en silence... Mais parfois le silence en dit plus long... il permet certains écarts de conduite...
    20
    Main de Maitre
    Jeudi 16 Novembre 2006 à 23:32
    Si deux voix (voies ?)
    il doit y avoir ce ne peut être que la mienne et celle de lumière qui d'ailleurs ne font qu'une. J'apprécierais qu'elle puisse poster les textes qui lui font plaisir sans être sollicitée de part et d'autres (sans arrières pensées j'en suis certain, mais tout de même)... MdM
    21
    Samedi 18 Novembre 2006 à 01:14
    Ne te juge
    pas aussi durement. Taplume est très bien. On en reparle. Bizzz et bonne nuit, JB
    22
    Samedi 18 Novembre 2006 à 20:23
    ah
    ici les "poupées", les marionettes sont de chair, et si elles ne sont pas de Hans bellmer elles se prêtent au jeu amoureux du désir...
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