• Et pis Fanny

    Le terme "épiphanie" est issu du grec et signifie "apparition".
    A l'époque des Romains, on fêtait les Saturnales. Ces fêtes duraient 7 jours et chacun avait le droit de faire ce qu'il voulait. C'est à ce moment là qu'est venue la tradition d'envoyer des gâteaux à ses amis.
    Sous l'Ancien Régime, on appela ça ‘le gâteau des rois' car on le donnait au même moment que sa redevance (comme les impôts) et il fallait en offrir un à son seigneur.
    En 1801, on a décidé que la <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"> <v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype>date de l'épiphanie (qui signifie ‘apparition') serait le 6 janvier, cette fête correspond à la présentation de Jésus enfant aux Rois Mages.
    Ce jour est aussi celui du premier miracle des noces de Cana et avant tout la date de baptême du Christ.
    Dès le Ve siècle, l'Eglise donna une importance considérable à cet événement. La galette des rois, servie à cette occasion, est une tradition typiquement française qui avait déjà cours au XIVe siècle. La galette était partagée en autant de portions que de convives, plus une. Cette portion supplémentaire, appelée "part du Bon Dieu" ou "part de la Vierge", était destinée au premier pauvre qui se présenterait.
    Pendant des siècles les chrétiens d'Orient célébrèrent la Nativité le jour de l'Epiphanie.
    Les Arméniens du Caucase le font encore aujourd'hui.
    Au Ier siècle il fut déjà décidé de donner primauté à la naissance du Christ plutôt qu'à l'Epiphanie.

    LES ROIS MAGES
    Venus d'Orient, trois rois se mirent en route en suivant la lumière de l'étoile qui les guida jusqu'à Bethléem.
    Ils y trouvèrent l'enfant Jésus, qui appelèrent le " Nouveau Roi des Juifs ".
    Quand ils le découvrirent dans l'étable, près de ses parents, Marie et Joseph, ils s'agenouillèrent devant lui en signe de respect et lui apportèrent de l'or, de la myrrhe et de l'encens.
    L'origine des Rois mages est aujourd'hui encore obscure. On les dits savants, riches mais errants. Ces mystérieux personnages alimentèrent l'imaginaire qui enveloppe Noël.
    Une chanson populaire «  de bon matin, j'ai rencontré le train de 3 grands rois qui partaient en voyage... »

    raconte comment les Rois mages sont venus d'Afrique.


    Pour l'Evangile, ils arrivèrent de l'Orient. Peut être viennent ils tout simplement du mystérieux pays d'où sont originaires les Saintes Maries de la Mer et qui porta longtemps le nom d'Egypte.

    Longtemps, le 6 janvier (Epiphanie) fût plus important que le jour de Noël. Encore actuellement, en Espagne ce sont les Rois mages qui apportent les cadeaux à l'Epiphanie et non à Noel. Les Rois Mages sont bien plus importants dans le coeur des enfants espagnols que le Père Noel et le 6 janvier est l'occasion d'une grande fêtes et de défilés dans les rues espagnoles.
    La symbolique des cadeaux en portait témoignage :
     
    L'or de Melchior célébrait la royauté, l'encens de Balthazar la divinité et la myrrhe de Gaspard annonçait la souffrance rédemptrice de l'homme à venir sous les traits de l'enfant.

    Longtemps ce jour là, on célébra le miracle de Cana : de l'eau changée en vin.
    Un rituel de quête terminait jadis la période des 12 jours de fêtes.
    Les quêteurs recevaient souvent en guise de présent une part de galette.
     
    <v:shape id=_x0000_i1028 type="#_x0000_t75" alt=""><v:imagedata o:href="http://www.joyeuse-fete.com/joyeux-noel/mini-epiphanie.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\user\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image003.gif"></v:imagedata></v:shape>Qu'est ce que la myrrhe ?
    La myrrhe est une résine odorante fournie par un arbre d'Arabie, le balsamier.
    Longtemps ce jour là, on célébra le miracle de Cana : de l'eau changée en vin.
    Un rituel de quête terminait jadis la période des 12 jours de fêtes.
    Les quêteurs recevaient souvent en guise de présent une part de galette.
     
     
    <v:shape id=_x0000_i1029 type="#_x0000_t75" alt=""><v:imagedata o:href="http://www.joyeuse-fete.com/joyeux-noel/mini-epiphanie.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\user\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image003.gif"></v:imagedata></v:shape>Origine de la fève et de la galette
    La fève dans la galette des rois remonte au temps des Romains. C'est une fève blanche ou noire qui était déposée pour les scrutins. Au début de janvier, les saturnales de Rome élisaient le roi du festin au moyen d'une fève. Si la tradition est d'origine religieuse, elle est devenue une tradition familiale où on se rassemble pour découper la fameuse galette. Celui qui trouvera la fève sera couronné roi ... et choisira sa reine.
    En Angleterre, comme en Bourgogne, anciennement, on préférait former un couple "d'occasion" en mettant dans la galette une fève et un petit pois.
    Dans de nombreux pays ou région du sud, la galette est remplacée par une couronne en brioche.
     
     


    • la brioche nature, toute simple, en forme de grosse roue avec dessus des pépites de sucre

    • En Provence, la brioche, toujours ronde mais fourrée aux fruits confits

    • La galette, assez rare aujourd'hui, dite "sèche", simple pâte feuilletée sucrée

    • La galette feuilletée fourrée de frangipane, sorte de crème d'amande inventée par Frangipani, le saucier florentin.
    <o:p> </o:p>Une légende raconte que la fève serait née le jour ou Peau d'Ane avait oublié sa bague dans un gâteau destiné au prince. En fait, son utilisation remonte certainement au XIIIe siècle. La fève existe sous de nombreuses formes et dans différentes matières, il y en a pour tous les goûts. Du haricot sec à la fève dorée à l'or fin 24 carats, on peut en trouver en plastique blanc ou, la plupart du temps, en porcelaine. La fève est devenue un véritable objet de collection . Ainsi le Musée de Blain en conserve plus de 10 000. Les collectionneurs sont appelés les fabophiles .
    <o:p> </o:p><v:shape id=_x0000_i1030 type="#_x0000_t75" alt=""><v:imagedata o:href="http://www.joyeuse-fete.com/joyeux-noel/mini-epiphanie.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\user\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image003.gif"></v:imagedata></v:shape>La part du pauvre
    La première part est toujours la "part du pauvre", la "part de Dieu et de la Vierge" et elle était désignée par le plus jeune enfant de la famille.
    Il y avait aussi la part des absents - le fils aux armées, le parent sur un vaisseau du roi, le pêcheur qui n'était pas rentrés.
    La part était rangée dans la huche jusqu'à leur retour, une façon tendre de dire "on a pensé à vous". S'il se gardait longtemps, sans s'émietter et sans moisir, c'était un bon présage.
    Les coutumes françaises
    En Franche-Comté, les enfants se déguisaient en Roi mage et portait ceinture dorée sur une chemise constellée d'étoiles. Ils allaient de porte en porte en chantant et en agitant des sonnettes réclamer leur part.
    Les filles à marier ne manquaient pas le soir d'adresser une prière:
    « Afin de voir en mon dormant
    Celui que j'épouserai de mon vivant »
    c'est la galette de goumeau qui peut peser jusqu'à 150 kilos qu'on appelle aussi galette de goumeau bisontine, galette des rois ou papet. Faite de pâte briochée, on la retrouve chez tous les boulangers pâtissiers bisontins et quelques autres du département du Doubs.
    <o:p> </o:p>En Basse Bretagne, c'est un pauvre tirant un cheval orné de buis et de laurier qui s'arrête de porte en porte pour recueillir la part des pauvres.

     
    <v:shape id=_x0000_i1031 type="#_x0000_t75" alt=""><v:imagedata o:href="http://www.joyeuse-fete.com/joyeux-noel/mini-epiphanie.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\user\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image003.gif"></v:imagedata></v:shape>Coutumes à travers le monde
    En Espagne
    En Espagne, le "Jour des 3 Rois" est un jour férié. On en profite pour échanger les cadeaux de Noël à cette date et non pas à Noel puisque, originellement, ce sont les rois mages qui apportèrent 12 nuits après la naissance de l'enfant Jésus, des présents.
    La veille, des carrosses paradent dans les rues. On lance fruits confits et bonbons, prémices du lendemain.
    Pour cette occasion, on confectionne un pain en forme de couronne parfumé de zestes de citron et d'orange, brandy et eau de fleur d'oranger, décoré de fruits confits et d'amandes effilées. On y glisse une pièce d'argent, une figurine de porcelaine ou un haricot sec.
     
    En Italie
    En Italie, au sud principalement, plus loin des traditions du nord de l'Europe, l'ambiance est tout autre. La fée bienfaitrice Befana distribue les cadeaux, comme le Père Noël, pendant la nuit de l'Epiphanie... d'où elle tire probablement son nom.
    Mais les enfants désobéissants reçoivent un bout de charbon tiré de son grand sac. A la fois bonne et intraitable, tour à tour Saint-Nicolas et Père Fouettard. Car elle est vêtue de noir, et symbolise à la fois le mal et la fin de la saison des nuits longues. On retombe toujours sur les mêmes croyances ancestrales, la peur de l'interminable nuit.
     
    En Guadeloupe
    Ici, on ne fête pas comme tout le monde. L'Épiphanie ne représente pas le dernier jour des festivités de Noël mais le premier jour de "kannaval" qui se termine ... le soir du Mercredi des Cendres, dernier jour de folie où diables et diablesses vêtus uniquement de noir et blanc envahissent les rues.
    Le soir voit s'approcher la fin du carnaval par "Grand brilé Vaval", l'incinération du roi Carnaval, "Vaval", sous les cris et lamentations de la foule.
     
    Au Mexique
    L'Épiphanie se prépare 10 jours avant Noël avec les posadas. Comme les Rois Mages guidés par l'étoile du berger, chaque famille, en procession, apporte des friandises sur la place de chaque village. Elles serviront à remplir les pinatas, d'énormes animaux en poterie ou papier mâché très colorés qu'on suspend le jour de l'Épiphanie. Les enfants doivent essayer de briser la pinata afin qu'elle s'ouvre comme une corne d'abondance, déversant tout leur contenu de friandises et de menues monnaies.
    Si, dans plusieurs pays, l'Épiphanie couronne le roi ou la reine de la fête, la coutume est moins heureuse dans ce coin du monde ... En effet, celui qui découvre un petit Jésus en sucre ou une fève dans la rosca de reyes ou couronne des rois, devra organiser et payer la fête de la Chandeleur où tous les convives sont invités à déguster des tamales. Celui qui est un peu avare, n'hésite pas à avaler la fève, chuchote-t-on en coulisse mais puisque la fête se fait en famille et entre amis, le subterfuge est rapidement pointé du doigt avec rires et sarcasmes.

    Le sens chrétien de la fête



    - Dans l'Église catholique romaine

    Dans certains pays, la célébration liturgique de la fête est reportée à un dimanche, en vertu d'un indult papal destiné à permettre aux gens de se rendre à la messe (alors qu'ils devraient travailler le 6 janvier si ce jour n'est pas férié dans leur pays). Ainsi, en France, cette fête est célébrée le deuxième dimanche après Noël.
    Cette fête célèbre la visite de l'enfant Jésus par les mages, couramment appelés les Rois mages.


    - Dans l'Église orthodoxe

    La fête commémore le baptême du Christ dans le Jourdain, la descente du Fils de Dieu au milieu de sa création, la stupeur de cette création qui reconnaît son créateur (le Jourdain retourne en arrière) et la manifestation de la Divine Trinité (la voix du Père et la colombe rendent témoignage au Fils).
    Dans certains pays orthodoxes, une croix est lancée dans un fleuve ou dans la mer et les jeunes gens rivalisent, en cette saison froide, pour plonger et la rapporter. La fête s'appelle plutôt Théophanie et elle est préparée par un jeûne strict le 5 janvier.


    - Dans l'Église apostolique arménienne

    La fête est une des plus grandes fêtes de l'année car Noël n'est pas fêté le 25 décembre mais, selon l'usage chrétien ancien, le 6 janvier.

    Tradition de tirer les Rois

    En France, la tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » : une figurine est cachée dans une pâtisserie et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée. Cette pratique trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique.
    Dans la moitié nord de la France, depuis le XIVe siècle, on mange la galette des rois à l'occasion de cette fête. La tradition veut que l'on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre », était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis.
    Un usage moderne veut aussi que la traditionnelle fève soit remplacée ou voisine avec un petit sujet caché à l'intérieur de la pâte de la galette des rois, la personne ayant dans sa part la fève sera symboliquement couronnée roi ou reine et devra offrir la prochaine galette, quant à celui qui a le sujet il devra offrir la boisson (mousseux, muscat, ou champagne selon la bourse... ).
    Lorsqu'il y a un enfant, celui-ci doit se placer sous la table, et tandis que la personne qui fait le service choisit un morceau, l'enfant désigne le destinataire de cette portion.
    Dans le sud de la France, traditionnellement, on ne prépare pas une galette, mais une brioche en forme de couronne, garnie et couverte de fruits confits et de sucre granulé. Un santon (généralement santon-puce) tend à remplacer la fève. Cette couronne des Rois est toujours très présente mais se fait souvent concurrencer par la galette, moins chère (les fruits confits sont coûteux) mais aussi de fabrication et conservation (voire de manipulation !) plus facile. Les non-Provençaux, nombreux à s'installer dans le Midi, restent souvent fidèles à la frangipane.
    On trouve des coutumes similaires en Espagne, au Portugal et dans les pays d'Amérique latine. Le Día de los Tres Magos y est souvent un jour férié et les enfants y reçoivent leurs cadeaux plutôt qu'à Noël.
    En Belgique et aux Pays-Bas : on mange également une galette à la pâte d'amande. Le plus jeune se cache sous la table pour désigner les parts et le roi du jour choisit sa reine. Pendant la journée les enfants parcourent les rues en chantant la chanson de l'étoile et font du porte à porte pour recevoir des mandarines et des bonbons. Cette coutume tend à disparaître en Belgique. Dans les campagnes flamandes cela se fait encore. Notons au passage qu'en Wallonie, c'est à ce moment qu'on commence la préparation du Carnaval.

    La tradition de tirer les Rois existe aussi dans le sud des États-Unis, sous le nom de king cake. Ceux-ci sont mangés pendant toute la période qui va de l'Épiphanie jusqu'au carnaval de mardi gras.

    Prénoms fêtés

    C'est le jour de l'Épiphanie que l'on fête les Tiphaine (en français), Tifenn (en breton), Tiffany (en anglais) ou Théophano, Théano (en grec). Ce prénom correspond en effet au mot Théophanie, ou manifestation de Dieu, autre nom de la fête. On fête les Jordan et les Jordane. On fête aussi les Noël ... s'ils sont Arméniens.
    Durant les quatre premiers siècles de l'histoire chrétienne, l'Église avait l'habitude de fêter le 6 janvier toutes les manifestations de Dieu sur la terre : la Nativité (Noël), l'Adoration des mages, le baptême du Christ et les noces de Cana. Le changement de l'eau en vin et la multiplication des pains (ou Phagiphanie) étaient ainsi commémorés par une même fête avec la Nativité.


    • Les fêtes ont ensuite été dissociées : pour le 6 janvier, les Latins ont retenu l'Adoration des mages et les Grecs le Baptême du Christ. Les Arméniens sont les seuls chrétiens à avoir conservé une fête unique le 6 janvier : c'est le Noël arménien
    <o:p> </o:p>D'après l'Evangile selon Saint Matthieu : <v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"> <v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype>





    Jésus étant né à Bethléem de Judée au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d'Orient se présentèrent à Jérusalem et demandèrent : "Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu en effet son astre se lever et sommes venus lui rendre hommage." Informé, le roi Hérode s'émut, et tout Jérusalem avec lui...
    Alors Hérode manda secrètement les mages, se fit préciser par eux la date de l'apparition de l'astre et les dirigea sur Bethléem en disant : "Allez vous renseigner exactement sur l'enfant ; et quand vous l'aurez trouvé, avisez-moi, afin que j'aille, moi aussi, lui rendre hommage."

    <v:shape id=_x0000_i1032 type="#_x0000_t75" alt="" o:button="t" href="http://www.culture.gouv.fr/culture/noel/franc/legimg/mages.htm"><v:imagedata o:href="http://www.culture.gouv.fr/culture/noel/imatges/mages.gif" src="file:///C:\DOCUME~1\user\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image004.gif"></v:imagedata></v:shape>

    Sur ces paroles du roi, ils se mirent en route ; et voici que l'astre, qu'ils avaient vu à son lever, les devançait jusqu'à ce qu'il vînt s'arrêter au-dessus de l'endroit où était l'enfant. La vue de l'astre les remplit d'une très grande joie. Entrant alors dans le logis, ils virent l'enfant avec Marie sa mère, et tombant à genoux, se prosternèrent devant lui ; puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Après quoi, un songe les ayant avertis de ne pas retourner chez Hérode, ils prirent une autre route pour rentrer dans leur pays."


     


     


     

    source wikipedia, joyeuses-fetes.com<o:p> </o:p>

  • Commentaires

    1
    Samedi 6 Janvier 2007 à 09:18
    A vos fourneaux
    pour la galette des rois....
    2
    Samedi 6 Janvier 2007 à 09:26
    merci Lum
    pour ces infos. Mais tu n'as pas mis la recette de la galette :d bisous
    3
    Samedi 6 Janvier 2007 à 11:43
    resterait-il
    une petite part de galette pour moi? avec la fève, bien évidemment :) bises coquines
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    4
    Samedi 6 Janvier 2007 à 13:45
    Bonjour LDO,
    Très intéressant les histoires de "part du pauvre" et de "part de l'absent". Ah, c'est malin, je vois de la frangipane partout , maintenant ;-D Bise.
    5
    Samedi 6 Janvier 2007 à 15:19
    bonjour je tu ellle
    je vous garde une part ( une grosse avec la feve) bisous et bonne année :)
    6
    Samedi 6 Janvier 2007 à 15:20
    bonjour French
    je te garde une part aussi? bisous
    7
    Dimanche 7 Janvier 2007 à 09:38
    J'aime le couple "d'occasion"
    avec la fève et le petit pois, surtout en période de "soldes". (Tu as des actions à Wikipédia, toi ? ;o)) Topo' sérieux : j'ai appris des trucs (et ça ne m'a pas "barbé" !).
    8
    Dimanche 7 Janvier 2007 à 09:55
    meuh non j'ai pas d'actions
    chez wiki...
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