• Chapitre 6

    Chapitre 6




    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Claire était confortablement installée dans un fauteuil Louis XV au sein du club, buvant doucement le cocktail que Jean lui avait commandé. L'ambiance était très douce et gaie, une vingtaine de personnes étaient déjà présentes et le buffet était ouvert. Elle ne pouvait malgré tout cacher une anxiété qui faisait doucement trembler ses mains. Pourtant Jean avait tout fait pour la calmer, lui indiquant que ce soir serait un jour voyeur, où il ne jouerait pas d'elle. Toutes les femmes étaient magnifiquement parées, et elle était soulagée des vêtements que Jean lui avait offert, se sentant ainsi fondue dans la masse !
    Elle était fascinée par un jeune couple de 30 ans environ, par elle surtout. De longs cheveux bruns, un visage angélique, assez femme enfant, mais avec une poitrine qui n'avait rien de juvénile. Lorsqu'elle était revenue du buffet avec deux assiettes remplies, sans même un ordre de son maître, elle s'était mise à 4 pattes devant lui, les reins très cambrés, offrant son dos comme table à son seigneur et maître. Son assiette à elle était posée à même le sol, et elle la mangea plus tard, comme un chienne, en plongeant la tête directement dans l'auge. C'était terriblement érotique, d'autant qu'elle gardait les jambes écartées, dévoilant un sexe rebondi, parfaitement épilé, et dont les lèvres percées étaient étirées par de lourds poids s'entrechoquant. Le plus fascinant restait le regard qu'elle lançait à son maître, plein d'amour et de respect, d'attente et de désir.
    Est ce qu'elle serait capable d'être ainsi humiliée en public pour l'amour de son maître ? Claire se demandait le chemin qu'elle devrait emprunter pour réaliser ses envies et ses souhaits. Pourquoi cette femme le faisait elle, pourquoi elle même avait elle envie de le faire ? Le dîner achevé, certains couples commencèrent à s'éclipser dans les autres pièces du club que Claire n'avait pas encore visitées. L'alcool aidant, elle commençait à se détendre et à se sentir très excitée par ces corps de femmes dénudés, et ces hommes qui les utilisaient. Les hommes soumis présents étaient pour elle des interrogations : comment un homme pouvait il se soumettre, n'était ce pas la place d'une femme que d'être aux pieds de son homme ? Les lèvres de Jean au creux de son cou, ses main la caressant au travers de la jupe en latex, la pression de son corps contre ses seins achevèrent de l'exciter. Leur baiser long et passionné sur la piste de danse la laissa pleine d'envies furieuses et violentes, et elle s'agrippa à lui pour lui faire passer ce désir, qu'il l'utilise fasse d'elle ce qu'il veut. Les seuls mots qu'elle arriva à prononcer furent « s'il te plaît. ». En la regardant, il cru comprendre, et l'attira doucement vers la pièce du fond, d'où venait des bruit régulier de flagellation. Attachée en croix avec les bras très étirés, un femme blonde avait déjà le dos et les fesses très marquées par les coups qu'elle recevait sans discontinuer de deux hommes qui la frappaient en cadence avec un martinet. Chaque bruit de l'instrument sur son corps tendu et offert était accompagné d'un cri rauque très excitant. Claire enviait ses marques rouges sur son corps, l'attention de l'assemblée sur le corps supplicié, et une étrange tendresse l'attirait vers cette belle femme blonde. La main puissante de Jean vint la saisir doucement à la nuque, et guidée par elle, Claire passa dans la pièce à côté où trônait une banquette matelassée noire. Le socle était en pente, moyennant quoi, lorsqu'il la fit s'agenouiller et se coucher dessus, sa tête était plus basse que ses fesses, ainsi très fortement mises en avant ! Tentant de précéder les désirs de son maître, ses mains remontèrent sa courte jupe en latex pour la rouler au niveau de sa taille et elle écarta ses cuisses pour s'offrir totalement. Elle se sentait si bien dans cette position! Une certaine dolence l'envahissait tandis que Jean lui caressait doucement le dos, puis les cuisse de ses mains. Un frisson d'excitation l'envahit lorsqu'elle senti ses fesses écartelées, faisant à la fois s'ouvrir son anus et masser son clitoris écrasé contre la banquette. Elle devait être indécente et elle sentait son sexe gorgé de désir. Ses fesses partaient à la recherche de la main, désirant à la fois sa caresse, mais aussi ces émotions brûlantes qu'elle désirait parfois. Elle ne perçut pas le monde qui se regroupait autour d'elle, tout était flou, seule existait cette main et ce maître à qui elle voulait tout offrir d'elle, maladroitement mais avec cœur. Les premiers coups ne furent qu'agréables et Claire était ravie de supporter cela si facilement, elle avait le sentiment que les lanières du martinet la caressait doucement, sur les fesses et le bas de son dos dénudé. Elle commença à gémir lorsque Jean frappa plus fort, en rythme plus cadencé, en de grands souffles où l'assemblée pouvait distinctement entendre un « oui » violent. Que cela dure indéfiniment pensait-elle et que je meurre de plaisir! Après une pause où Jean vint lui masser fermement les fesses (elle apprit bien plus tard que c'était pour stimuler sa production d'endorphine – elle ignorait qu'il existât des techniques pour fouetter une femme), les coups se firent plus lents mais beaucoup plus fort. La douleur lui vrillait les fesses, descendant en longs frissons le long de ses jambes, jusqu'à ses pieds, provoquant brûlures et excitation, désir de fuir et bonheur de s'abandonner. Ce n'est que très tardivement qu'elle s'aperçut que les coups avaient cessés, des mains lui caressait tendrement le dos tandis qu'une bouche gourmande provoquait mille frissons dans son cou offert. Dans ses yeux noyés de larmes, Claire vit Jean rayonnant de plaisir et de tendresse. Il l'aida à se redresser et la soutint pour revenir prendre des forces dans le salon, ses reins et ses fesses étaient en feu et elle se sentait cassée de partout, et si pleine de son amour et de ses coups. Dire qu'il ne devait rien faire ce soir ! Elle ne regrettait rien au contraire, et vint se lover amoureusement à ses pieds, la jupe toujours tirebouchonnée à sa taille. Pouvait elle lui dire qu'elle était prête à beaucoup plus, là maintenant, s'il le désirait, pour lui, rien que pour lui ?




  • Commentaires

    1
    Jeudi 28 Décembre 2006 à 09:49
    quelques lignes
    entre les reveillons
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