• Une journée un peu particulière pour une année de plus. Et oui je suis née le jour des sorcières et des monstres. J'avoue que j'en profite parfois pour faire peur aux petits enfants... , gniarkk, gniarkk, gniarkk...ce n'est pas tres gentil, mais on s'amuse bien à se faire peur.


    Aujourd'hui j'en profite pour regarder derrière moi, les années.passées (quelques unes quand même) et ne soyez pas grossier je ne dirais pas le nombre ( ah bon tant que ça dirait quelqu'un que je connais ).
    et bien malgré mon grand âge, je ne regrette pas. J'ai essayé beaucoup de choses, je me suis perdue dans bien des aventures, parfois bonnes, souvent mauvaises. Je me suis égarée, j'ai essayé de croire à ce que je n'étais pas. Je me suis abimée parfois. Mais j'avais la chance de pouvoir me recréer des illusions, des espoirs et de repartir vers d'autres horizons.


    Les deux dernières années ont été les premières des meilleures années de ma vie. J'ai mis du temps à accéder (enfin) au véritable bonheur. Je croyais avoir touché le fond; je pensais même m'être résignée à une vie sans lumière, sans but. Et IL a croisé mon chemin. Grâce à LUI j'ai découvert comment conjuguer le verbe aimer à tous les temps du présent et du futur. J'en arrive presque à m'aimer moi à travers son regard si tendre, si aimant.


    Alors merci mon amour de faire de moi une femme si heureuse. Dommage qu'il m'ait fallu tant de temps pour te trouver , mais peut être fallait il en passer par là. Merci de ta force et de ton soutien, merci d'être toi.


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  • 30 octobre
    1938

    Pour Halloween, Orson Welles sème la panique depuis une grande chaîne de radio américaine, en adaptant sous forme de reportage le roman de science-fiction 'La Guerre des mondes', dû en 1898 à la plume de Herbert George Wells. Nombre des six millions d'auditeurs croient à l'arrivée imminente des martiens. Un vent de panique souffle sur l'Amérique. La radio a fait montre de son pouvoir.


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  •  


    J'ai rendez-vous avec vous 


     


    Monseigneur l'astre solaire
    Comm' je n'l'admir' pas beaucoup
    M'enlèv' son feu, oui mais, d'son feu, moi j'm'en fous
    J'ai rendez-vous avec vous
    La lumièr' que je préfère
    C'est cell' de vos yeux jaloux
    Tout le restant m'indiffère
    J'ai rendez-vous avec vous !

    Monsieur mon propriétaire
    Comm' je lui dévaste tout
    M'chass' de son toit, oui mais, d'son toit, moi j'm'en fous
    J'ai rendez-vous avec vous
    La demeur' que je préfère
    C'est votre robe à froufrous
    Tout le restant m'indiffère
    J'ai rendez-vous avec vous !

    Madame ma gargotière
    Comm' je lui dois trop de sous
    M'chass' de sa tabl', oui mais, d'sa tabl', moi j'm'en fous
    J'ai rendez-vous avec vous
    Le menu que je préfère
    C'est la chair de votre cou
    Tout le restant m'indiffère
    J'ai rendez-vous avec vous !

    Sa Majesté financière
    Comm' je n'fais rien à son goût
    Garde son or, or, de son or, moi j'm'en fous
    J'ai rendez-vous avec vous
    La fortun' que je préfère
    C'est votre cœur d'amadou
    Tout le restant m'indiffère
    J'ai rendez-vous avec vous !


     


    Georges Brassens


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  • Envie de tendresse et de calin
    Qu'on me prenne la main
    Un baiser sur le front
    Qui descend sur le yeux, les joues...


    Encore, encore ces baisers légers
    ces baisers fous et tendres...


    Encore plus que d'habitude...


     


     


    " Un baiser, mais à tout prendre, qu'est-ce ?
    Un serment fait d'un peu plus près, une promesse
    Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,
    Un point rose qu'on met sur l'i du verbe aimer ;
    C'est un secret qui prend la bouche pour oreille,
    Un instant d'infini qui fait un bruit d'abeille,
    Une communion ayant un goût de fleur,
    Une façon d'un peu se respirer le coeur,
    Et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme"

    Extraits de " Cyrano de Bergerac " Edmond Rostand




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  •        

    Baiser! rose trémière au jardin des caresses!
    Vif accompagnement sur le clavier des dents
    Des doux refrains qu'Amour chante en les coeurs ardents
    Avec sa voix d'archange aux langueurs charmeresses!

    Sonore et gracieux Baiser, divin Baiser!
    Volupté non pareille, ivresse inénarrable!
    Salut! l'homme, penché sur ta coupe adorable,
    S'y grise d'un bonheur qu'il ne sait épuiser.

    Comme le vin du Rhin et comme la musique,
    Tu consoles et tu berces, et le chagrin
    Expire avec la moue en ton pli purpurin...
    Qu'un plus grand, Goethe ou Will, te dresse un vers classique :

    Moi, je ne puis, chétif trouvère de Paris,
    T'offrir que ce bouquet de strophes enfantines :
    Sois bénin, et pour prix, sur les lèvres mutines
    D'Une que je connais, Baiser, descends, et ris.


     


    Paul Verlaine


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